algues au rythme
festival 2007
Samedi 19 mai :Arradon (56)
La prog:
Narayana
Nârâyana, c’est du tibétain et ça signifie « aller toujours plus haut » ou « celui qui marche sur l'eau ».
Pourtant, ici point de gong, de cloches ou de flûtes du toit du monde : le groupe mélange le reggae, le ska, le métal et autre didjéridoo débordant d’énergie !
Depuis 1998, les Vannetais affichent leurs ambitions : ils écument les routes pour distiller leur musique métissée et énervée sur plus de 350 concerts.
Populaire et souvent fracassant sur scène, Nârâyana partage l’affiche avec les plus grands groupes français et internationaux (Sinsémilia, Mister Gang, Alpha Blondy, Skatalites) et écrit les pages de son histoire à la vitesse de ses riddims.
Après avoir vendu plus de 10 000 albums, le groupe sort son Nouveau CD « Rien lâcher ».
Du didjéridoo aux guitares métal en passant par le reggae lancinant ou le ska-rock survolté, ces énervés n'hésitent pas à mélanger leurs influences pour donner naissance à un son "rock reggae fusion" original !
La Caravane (re) passe
Après leur succès lors du festival 2005, la caravane (re) passe!
La caravane passe l’alternateuf tziganin’…
Depuis 5 ans, le public est nombreux et répond présent quand il s’agit de danser et
de se défouler sur les rythmes endiablés de La caravane passe.
Entre musique des Balkans et rock français, La caravane passe a un univers, un
répertoire et une langue qui lui sont propres : « l’universelle fiesta ». Des airs que
l’on retient facilement, des paroles dans des langues métissées et une énergie à
toute épreuve. On n’a plus seulement un groupe de musique tzigane, mais un
groupe alternatif qui impose la fête au-delà des cultures.
La caravane passe c’est :
Toma Feterman : « maître de cérémonie déjanté », chanteur banjoïste et
trompettiste est un parisien aux origines polonaise et roumaine.
« Llugs » Llugany : barit dans son Fiscorn (cuivre catalan) ou dans son trombone
basse, quand il ne donne pas la réplique à ses collègues
« Zinzin » Moretto : fait frémir le public avec ses saxophones
BenBody : l’assise du groupe, la contrebasse qui fait trembler et bouger
Pat Gigon : c’est la batterie, les chevaux, l’énergie brute de la caravane
Hocine
Hocine chante un répertoire de chansons festives et métissées, nourries de mélopées kabyles, et enrichies de voyages parmi différentes cultures : la Calabre, l'Egypte, la Nubie, l'Andalousie, l'Albanie... également influencé par les musiques manouche, ska, funk...
A travers ses chansons, Hocine raconte la joie, l'amour, le voyage, le travail, les chemins de la vie, le coeur des hommes, la beauté d'un ciel étoilé et l'intelligence de ceux qui savent le regarder... des mots, des histoires, des mélodies, des rythmes, des métissages...
Sur une base de trio avec Jawel à la contrebasse, Jami Rose au chant et percussions, et Hocine à la guitare et au chant, les concerts se font aussi à quatre, cinq, six ou sept musiciens, avec flûte, violon, chant, tablas...
Le groupe a fait en novembre 2005 la 1ère partie de Idir au Dôme de Saint-Avé (56), en mars 2006 la 1ère partie de Susheela Raman à La Petite Scène de Saint-Nolff (56), en mai 2006 le festival Toulémonde à Saint Nolff.
Il prépare son premier disque : un album live, dont la sortie est prévue en mars 2007.